Le train est en marche
Cher David Serge,
D'abord, un infini merci pour vos mots.Ils auraient pu me bousculer, me secouer, ils m'ont plutôt remis les idées en place. emboîté avec moi-même.
Je le cherchais, le père. Dix ans que je le cherchais. Alors c'est ça. Un homme. Si je m'attendais.
Et d'emblée l'immense envie de vous ajouter à mes Napoléons, mes Henri IV et mes Rivoire. David Serge. Napoléon, Henri IV, David Serge mais. Mais ma tendance aux pieds joints. Mais la conscience du processus. Mais votre pied dans la dialectique.Un homme.Comme c'est apaisant de l'entendre, de le dire.Je cherchais une statue, je trouve un homme. Tous les hommes.A un virage de mon chemin, nez à nez avec moi-même. une boucle bouclée, ce chemin-là. J'ai gagné du temps en passant boire un café dans votre maison de mots. un raccourci sur mon petit chemin. car il est tout neuf mon chemin. à peine vingt-cinq ans que je marche.J'aurais aimé que ces mots viennent du mien. de mon petit papa.mais il ne parle ma langue.et vous les avez offert au monde. maintenant le monde peut les offrir et les recevoir.la boucle bouclée. l'apaisement.
C'est pour cet apaisement-là que je vous écris. Cet enthousiasme de grand chemin.Pour vous donner des nouvelles de David à Bruxelles.Oui, il a fait bon chemin. oui, il est bien arrivé, il a bien raconté.Et l'envie de le raconter à son tour. Raconter David.Mais comment.J'ai rencontré Antoine qui m'a raconté David. On trouvera des traces sonores de cette rencontre ici <" target="http://www.defacto-asbl.be/forum/viewtopic.php?id=288>">http://www.defacto-asbl.be/forum/viewtopic.php?id=288>Le train est en marche.Merci.Loriane
D'abord, un infini merci pour vos mots.Ils auraient pu me bousculer, me secouer, ils m'ont plutôt remis les idées en place. emboîté avec moi-même.
Je le cherchais, le père. Dix ans que je le cherchais. Alors c'est ça. Un homme. Si je m'attendais.
Et d'emblée l'immense envie de vous ajouter à mes Napoléons, mes Henri IV et mes Rivoire. David Serge. Napoléon, Henri IV, David Serge mais. Mais ma tendance aux pieds joints. Mais la conscience du processus. Mais votre pied dans la dialectique.Un homme.Comme c'est apaisant de l'entendre, de le dire.Je cherchais une statue, je trouve un homme. Tous les hommes.A un virage de mon chemin, nez à nez avec moi-même. une boucle bouclée, ce chemin-là. J'ai gagné du temps en passant boire un café dans votre maison de mots. un raccourci sur mon petit chemin. car il est tout neuf mon chemin. à peine vingt-cinq ans que je marche.J'aurais aimé que ces mots viennent du mien. de mon petit papa.mais il ne parle ma langue.et vous les avez offert au monde. maintenant le monde peut les offrir et les recevoir.la boucle bouclée. l'apaisement.
C'est pour cet apaisement-là que je vous écris. Cet enthousiasme de grand chemin.Pour vous donner des nouvelles de David à Bruxelles.Oui, il a fait bon chemin. oui, il est bien arrivé, il a bien raconté.Et l'envie de le raconter à son tour. Raconter David.Mais comment.J'ai rencontré Antoine qui m'a raconté David. On trouvera des traces sonores de cette rencontre ici <" target="http://www.defacto-asbl.be/forum/viewtopic.php?id=288>">http://www.defacto-asbl.be/forum/viewtopic.php?id=288>Le train est en marche.Merci.Loriane
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home