Trains
Les trains. C'est vrai qu'il y a un train, dans les Langues paternelles. Un sacré train. Le grand train des pères de famille. Où je suis monté sans billet sans bagage. De bon matin je l'ai rencontré le train. De bon matin j'en suis tombé du train. C'est vrai. Mais toutes ces histoires de trains, tout de même, dans vos récits. Marie l'a lu dans les trains. Gri dans le TGV. Traube a lu les 81 premières pages dans le Genève-Zurich. Lit-on encore ailleurs que dans les trains, aujourd'hui?
2 Comments:
Mais Cher David Serge, dans le train on a le temps de lire, je privilége les voyages en train versus avion pour cette raison.
Je voulais absolument acheter votre livre hier matin, car demain je pars à Vienne et jusqu'à lundi prochain je n'aurai pas le temps de lire. 81 pages et pas encore de raison de haine, un Pére qui découche est quand même un Pére présent et payant les factures sans se faire désirer, bon j'ai encore quelques 200 pages à lire.
PS: j'ai adoré vos histoires de métro et de 96.
waggon.
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