Les langues paternelles

Il est sorti le livre. En janvier. Il est là. Je les entends déjà, les pauvres langues paternelles. Tu en as encore fait de belles, mon fils. C'est quoi ce livre? Ca parle de moi? Je le savais, que tu y viendrais. Mais ce masque, là, ça rime à quoi? Tu ne te trouves pas assez beau, c'est ça? Ou alors je te fais honte? Mais non papa. D'abord tu es mort. C'est par rapport aux enfants. Je. Bon. C'est vrai que c'est une situation impossible papa. Ca ne m'étonne pas mon fils. Tu tiens de moi.

Nom :
Lieu : France

14 février 2006

Trains

Les trains. C'est vrai qu'il y a un train, dans les Langues paternelles. Un sacré train. Le grand train des pères de famille. Où je suis monté sans billet sans bagage. De bon matin je l'ai rencontré le train. De bon matin j'en suis tombé du train. C'est vrai. Mais toutes ces histoires de trains, tout de même, dans vos récits. Marie l'a lu dans les trains. Gri dans le TGV. Traube a lu les 81 premières pages dans le Genève-Zurich. Lit-on encore ailleurs que dans les trains, aujourd'hui?

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Mais Cher David Serge, dans le train on a le temps de lire, je privilége les voyages en train versus avion pour cette raison.
Je voulais absolument acheter votre livre hier matin, car demain je pars à Vienne et jusqu'à lundi prochain je n'aurai pas le temps de lire. 81 pages et pas encore de raison de haine, un Pére qui découche est quand même un Pére présent et payant les factures sans se faire désirer, bon j'ai encore quelques 200 pages à lire.
PS: j'ai adoré vos histoires de métro et de 96.

07:51  
Anonymous Anonyme said...

waggon.

08:35  

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